jeudi 25 novembre 2010
Entente de principe entre la CSQ et le gouvernement
La CSQ est parvenue à une entente de principe, aujourd'hui, avec le gouvernement dans le cadre de ses négociations en vue d'obtenir une première convention collective pour ses 13 000 RSG. L'entente de principe sera soumise dès aujourd'hui aux déléguées de la FIPEQ-CSQ qui représente près de 90 % de l'ensemble des RSG au Québec. Les déléguées sont réunies à Montréal.
La responsable du dossier et vice-présidente à la CSQ, Mme Louise-Chabot, se réjouit de l'aboutissement de ce dossier après une négociation qui aura duré neuf mois. « Tout était à faire dans ce dossier et nous avons réussi à obtenir des gains intéressants au niveau des revenus, des avantages sociaux et des protections sociales. Cela a été possible grâce à la mobilisation et à la solidarité exemplaires dont ont fait preuve ces milliers de femmes tout au cours de la négociation », soutient Mme Chabot.
« Que maintenant on ne considère plus les RSG comme de simples gardiennes est une victoire significative remportée par ces milliers de femmes qui se sont regroupées pour défendre leurs droits. On leur reconnaît enfin le titre qui leur revient de plein droit, soit celui d'éducatrices, et elles peuvent en être fières », constate Mme Chabot.
Assemblées générales à venir
Les 13 000 RSG syndiquées à la CSQ seront convoquées au cours des prochains jours en assemblées générales dans l'ensemble des régions du Québec pour se prononcer sur le contenu de l'entente.
La responsable du dossier et vice-présidente à la CSQ, Mme Louise-Chabot, se réjouit de l'aboutissement de ce dossier après une négociation qui aura duré neuf mois. « Tout était à faire dans ce dossier et nous avons réussi à obtenir des gains intéressants au niveau des revenus, des avantages sociaux et des protections sociales. Cela a été possible grâce à la mobilisation et à la solidarité exemplaires dont ont fait preuve ces milliers de femmes tout au cours de la négociation », soutient Mme Chabot.
Des éducatrices enfin reconnues
La vice-président de la CSQ ajoute que, au-delà du règlement obtenu, cette négociation aura enfin permis d'abattre des préjugés qui étaient entretenus depuis trop longtemps à l'égard de ces travailleuses.« Que maintenant on ne considère plus les RSG comme de simples gardiennes est une victoire significative remportée par ces milliers de femmes qui se sont regroupées pour défendre leurs droits. On leur reconnaît enfin le titre qui leur revient de plein droit, soit celui d'éducatrices, et elles peuvent en être fières », constate Mme Chabot.
Assemblées générales à venir
Les 13 000 RSG syndiquées à la CSQ seront convoquées au cours des prochains jours en assemblées générales dans l'ensemble des régions du Québec pour se prononcer sur le contenu de l'entente.
